| | | No one ever said it would be this hard. (r) |  |
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Meadow Winfield
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|  Sujet: No one ever said it would be this hard. (r) Mar 14 Juil - 2:22 | |
|     poupaFor so long, I was lost.Elle s’étouffa. Le son de sa toux lui était projeté en écho comme si cinq ou six personnes s’amusaient à l’imiter. Une fois son souffle repris, Meadow sourit, ressentant les effets de la substance, avant de tirer une autre bouffée de son joint. Quelques instants plus tard, elle lança du bout des doigts le mégot qui se consuma de lui-même. Dans son sentiment de bien-être, Meadow s’installa au pied d’une colonne de la structure interne de la vieille usine. Elle se fichait bien d’être assise dans un mélange de terre et de poussière. À vrai dire, à ce moment là, il n’y avait plus grand-chose qui lui importait. Une partie d’elle-même se demandait ce qu’elle pouvait bien ficher dans un endroit aussi peu sûr à une heure si tardive. Comme si elle cherchait à se prouver qu’elle n’avait besoin d’aide de personne, qu’elle pouvait aisément se protéger toute seule.
Elle retira sa veste qu’elle posa par la suite sur le plancher avant de s’étendre sur le dos, sa tête reposant sur le morceau de linge. Les yeux fermés, le visage éclairé par la lueur de la lune qui passait à travers les carreaux, elle se sentait si légère. La même légèreté qu’elle éprouvait quand elle ne faisait qu’un avec Nate. Autant elle se trouvait pathétique, autant elle ne pouvait s’empêcher de garder ces moments en mémoire. Peut-être qu’ils n’avaient jamais été amoureux l’un de l’autre, mais il y a tout de même eu quelque chose. On ne reste pas en couple une année avec une personne si on ne la supporte pas. Et, maintenant qu’elle se retrouvait seule, Meadow réalisait que les autres garçons qu’elle voyait ne parvenaient pas à lui faire sentir cette même allégresse. Un raclement de gorge résonna dans le grand espace vide. L’écho faisait paraître le tout si surréel que Meadow ne croyait pas ne plus être seule. Les yeux toujours clos, son visage était illuminé par son large sourire béat. Le plancher était froid, sale et dur, mais elle se sentait comme sur un nuage.
« Meadow ? »
Cette fois, elle savait qu’elle ne rêvait pas. Meadow ouvrit les yeux rapidement, le même sourire au visage. C’était lui. Elle se releva rapidement, avec grâce.
« Qu’est-ce que tu fais ici, Nate ? »
Elle pencha la tête légèrement sur le côté, chose qu’elle faisait chaque fois qu’elle voulait se montrer mignonne, charmeuse et irrésistible. Alors que ses courtes mèches de cheveux bouclées rebondissaient tout en lui donnant un air angélique, cette lueur dans ces yeux, un air si malicieux et mystérieux trahissaient le petit manège de la fille parfaitement sage et naïve. C’est ce qui les rendait fous. Tant de fois ce petit cirque avait fonctionné sur Nate. Elle fit un pas vers lui, tout en lui offrant un sourire qui laissait paraître ses dents droites et d’un blanc immaculé.
« Est-ce que tu es venu seul, Whitley? » | |
| | | | Nate Whitley
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| | Sujet: Re: No one ever said it would be this hard. (r) Mar 14 Juil - 3:23 | |
|     i didn't know what to say to youUn vent frais traversait tout Lawndale et cela faisait du bien au quelques habitants qui étaient sortit de leurs maisons à cette heure si tardive et c'était certain que j'étais une de ses personnes. C'était cigarette à la main et bière presque vide que j'étais sortit de chez moi sous les cris de mes parents qui me dissaient de revenir et de leur expliquer pourquoi est-ce que je buvais tant que cela. Billie était rester chez elle ce soir-là et moi je voulais sortir alors j'avais essayé d'appellé pleins de personnes pour faire quelque chose mais tous avaient déjà quelque de prévue alors je décidas de me diriger vers la zone desaffectée, un endroit qui m'étais assez connu depuis le temps que j'y allais. C'était à cette endroit que j'avais organiser ma première fête, je sais très belle endroit, mais mes parents en voulaient pas que je la fasse chez moi, je sais que cela n'est pas super comment endroit surtout que la police y est toujours mais cette fête là avait été super. Mais revenons à la zone desaffectée, je marchais tranquillement quand j'entendis du bruit. Je décida de tourner de bord pour me rendre vers cette endroit quand je l'a vis et je ne pu m'empêcher de dire:
« Meadow ? »
« Qu’est-ce que tu fais ici, Nate ? »
« Je crois que je pourrais te poser la même question Meadow »
Meadow était la seul fille avait qui j'avais réussis à sortir plus longtemps que les autre. Un an, un an de rupture, de réconciliation mais aussi de quelques moments de bonheur. Je ne pouvais pas oublier ces moments, d'accord depuis le temps de notre rupture, j'avais longtemps été attiré par elle, car Meadow était une belle personne, attirante et aguicheuse mais j'avais rencontrer Billie et j'étais heureux. Puis quand je l'a vis faire son petit numéro, un sourire apparut sur mes lèvres, elle m'avait fait le coup tellement de fois que je l'a connaissais par coeur, d'accord j'avais souvent craqué à son numéro mais aujourd'hui je ne pouvais pas, je ne devais pas. Je savais que celle-ci voulait me récupérer, Travis me le dissait assez souvent mais là le problème était que j'étais seul, je pouvais que me faire confiance à moi-même, essayer de résister. Puis quand elle s'approcha un peu trop proche de moi, je fis un pas en arrière pour avoir une bonne distance puis quand elle ouvrit la bouche pour me dire:
« Est-ce que tu es venu seul, Whitley? »
« Est-ce que j'ai l'air d'être avec quelqu'un Winfield? »
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| | | | Meadow Winfield
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| | Sujet: Re: No one ever said it would be this hard. (r) Mer 15 Juil - 11:03 | |
| « Je crois que je pourrais te poser la même question Meadow. »
Touché. Meadow hésita. Elle aurait pu faire l’enfant et lui dire un truc du genre que c’est elle qui a posé la question en premier et que c’était donc à lui de répondre. Elle aurait également pu lui répondre, mais, pour faire une telle chose, il serait préférable qu’elle-même sache la raison de présence dans cet endroit définit comme inquiétant ou même dangereux. La vérité était que Meadow n’avait aucune idée de ce qu’elle faisait réellement là. Plus tôt, elle y était venue pour s’acheter un peu de cam, pas grand-chose. Mais elle n’avait rien à faire, nulle part où aller et personne avec qui traîner. Elle aurait pu partir une fois sa transaction complétée, mais elle était partie dans un coin où peut de personne venait. C’est plutôt étonnant de constater à quel point ses parents lui accordaient leur confiance. Meadow ne faisait que dire : je m’en vais, à plus tard. Ou encore « ne m’attendez pas. » et jamais ses parents ne lui posaient des questions à savoir où elle s’en allait, avec qui elle y serait, ce qu’elle comptait faire, … Meadow l’avait longtemps perçu comme une preuve que ses parents ne l’aimaient pas ou qu’ils n’en avaient tout simplement rien à faire, mais, aujourd’hui, elle était parvenue à se dire qu’ils avaient tout simplement compris qu’elle ne leur aurait pas livré de plus amples explications et, peut-être, avaient-ils été semblables durant leur propre adolescence.
« Je sais pas. … Je repensais au bon vieux temps, je suppose. »
Elle haussa les épaules tout en laissant son regard vagabonder sur la silhouette de Nate avant de porter une attention particulière aux traits de son visage. Un frisson parcouru son corps. Puis elle soupira, elle ne pouvait s’empêcher de se demander ce que Billie Jean pouvait avoir de si extraordinaire. Meadow avait toujours su qu’elle n’était sans doute pas la femme de la vie de Nate, que ce n’était que physique, mais elle ne croyait pas que la suivante serait si différente d’elle.
« Est-ce que j'ai l'air d'être avec quelqu'un Winfield? »
« On ne sait jamais, avec ton chien de poche, Desario. »
Un autre soupire, de frustration cette fois, s’échappa de sa bouche. Elle savait qu’elle avait toujours un effet sur lui. Les sentiments peuvent changer, mais, cette chose qui les unissait, c’était différent. Ce n’est pas quelque chose qui peut s’évaporer du jour au lendemain. Meadow devait profiter de cette chance ; il était venu seul. Pas de chien de poche, pas de petite blondinette. Elle n’avait qu’à se montrer entreprenante. Et persistante. Il avait reculé d’un pas, mais Meadow l’avait pris comme un signe, une preuve qu’elle avait bien de l’effet sur lui. Elle leva le bras vers lui et posa sa main sur son torse. Bien qu’un vêtement séparait leur peau, elle pouvait sentir sa chaleur corporelle qui réchauffait sa main légèrement froide. L’effluve de Nate vint chatouiller les narines de Meadow, se laissant guider par ses instincts, elle s’approcha encore de lui. Elle approcha sa tête jusqu’à ce que ses lèvres soient près de l’oreille de Nate.
« Je parie que lorsqu’elle chuchote ton nom, tu ressens pas la même chose que quand je le faisais, je parie qu’elle ne te touche pas ici comme moi je le faisais. »
Avait-elle murmuré à son oreille alors que ses doigts frôlaient quelques endroits plus sensibles de Nate sur son cou, pour lui montrer de quel endroit elle parlait. | |
| | | | Nate Whitley
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| | Sujet: Re: No one ever said it would be this hard. (r) Mer 15 Juil - 15:06 | |
| « Je sais pas. … Je repensais au bon vieux temps, je suppose. »
Le bon vieux temps, d'accord moi aussi j'y pensais quelques fois. Quand j'étais seul et que je laissais mon esprit vagabonder dans mes souvenirs. D'accord, certains moments n'étaient super mais d'autre l'était. Pourtant, j'avais toujours su que Meadow et moi ce n'était pas pour la vie. On essayais de se le faire croire pourtant cela avait fonctionner pendant un an. Le bon vieux temps comme elle le dissait, c'était quand on venait ici pour acheter des joints et les fumer ensemble pour par la suite être trop high pour se souvenir de se qu'on faisait. Pourtant, dans ce temps-là, je croyais vivre le bonheur avec elle. J'aurais voulu lui dire, que moi je n'y pensais plus que pour moi tout était fini mais j'y repensais, un peu trop souvent peut-être. Je l'a regardais dans les yeux pour finalement lui dire tranquillement:
« Je penses que le bon vieux temps, comme tu dis, est derrière nous et que nous devrions l'oublier. »
D'accord, c'était mauvais je vous l'accorde mais qu'est-ce que je pouvais bien lui répondre. Je la connaissais assez pour savoir que si je n'aurais rien répondu, elle aurait penser que j'y pensais, d'accord j'y pensais mais elle ne devait pas le savoir. Sinon, elle m'aurait eu et aurait essayé de me ravoir. Je la regardais, Meadow avait toujours été attirante, si j'aurais dit le contraire, j'aurais mentit. Pendant longtemps, j'avais été attirer par elle mais maintenant que Billie était dans ma vie, je me contrôlais, le problème était qu'elle ne voulait pas se contrôler. Elle me voulais et me le faisait comprendre très facilement. Puis quand elle ajouta:
« On ne sait jamais, avec ton chien de poche, Desario. »
« Tu sais que je pourrais te demander où son tes proies parce qu'habituellement, tu en as toujours un ou deux gars avec toi. »
Je lui souris puis que la vit se rapprocher. Voilà sa commençait. Elle faisait son petit manège, elle s'avançait vers moi et contrairement à ce que j'avais fait quelques secondes avant, je ne reculais pas, j'avais compris que cela ne servait à rien, elle l'avait pris du mauvais côté et avait commencé à mettre sa main sur mon torse pour se rapprocher de moicet ainsi sentir mon souffle sur sa peau. Puis, je sentis ses lèvres et son souffle se diriger vers mon oreille pour qu'elle me murmure, comme elle avait l'habitude de faire quand elle voulait me faire craquer.
« Je parie que lorsqu’elle chuchote ton nom, tu ressens pas la même chose que quand je le faisais, je parie qu’elle ne te touche pas ici comme moi je le faisais. »
« Meadow, je ne peux pas, je ne dois pas... Et tu le sais très bien. »
Je l'a repousa pour m'éloigner d'elle mais il était trop tard, sa main était déjà sur mon cou et ma main à moi sur son ventre plat et mince. Je la regardais dans les yeux et je mis une main sur sa main qui était dans mon cou pour l'enlever et ainsi être certain de ne pas craqué et de faire quelque chose que je ne voulais pas.
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| | | | Meadow Winfield
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| | Sujet: Re: No one ever said it would be this hard. (r) Ven 17 Juil - 2:44 | |
| « Je penses que le bon vieux temps, comme tu dis, est derrière nous et que nous devrions l'oublier. »
« J’ai l’impression que je suis pas la seule que tu essaies de convaincre en ce moment, Nate.»
Encore la tête qui s’incline légèrement, un sourire amusé sur ses lèvres. En fait, Meadow n’était pas totalement convaincue de ce qu’elle avançait. Peut-être que c’était vrai, peut-être qu’il ne repensait pas aux bons moments qu’ils avaient vécu ensemble. Peut-être que, grâce à BJ, il avait pu tourner la page pour de bon sur elle. Elle n’avait que très rarement vu Nate en compagnie de Billie Jean. Et elle ne tenait pas spécialement à ce que ce fait change. On dit que c’est lorsque l’on perd une chose ou une personne que l’on se rend compte à quel point cette chose nous était précieuse. Meadow avait compris à ses dépends que les personnes qui disaient cette phrase avaient bien raison. Quand Nate lui appartenait, quand c’était elle sa petite amie, elle ne s’en souciait pas réellement. Il pouvait ce qu’il voulait, elle s’en fichait pour la plupart du temps. De toute façon, il n’aurait pas voulu d’une personne qui s’inquièterait constamment de lui, de ce qu’il fait ou de ses fréquentations. Est-ce que Billie Jean lui laissait cette même liberté ? Meadow n’en avait aucune idée. Pourtant, au fond d’elle-même, elle était persuadée qu’elle convenait beaucoup mieux à Nate que BJ. C’était comme ça. On ne mélange pas les torchons et les serviettes…
« Tu sais que je pourrais te demander où son tes proies parce qu'habituellement, tu en as toujours un ou deux gars avec toi. »
« Si je ne te connaissais pas mieux, je croirais presque que tu es jaloux. »
Meadow leva les yeux au ciel avant de laisser un léger rire s’échapper d’entre ses lèvres. La différence entre lui et moi, depuis notre rupture, était que lui sortait officiellement avec quelqu’un d’autre tandis que, moi, je flirtais et j’avais des courtes aventures d’un soir, ou deux si le garçon s’était avéré être à la hauteur.
« Meadow, je ne peux pas, je ne dois pas... Et tu le sais très bien. »
« Tu ne peux pas, mais tu le veux. On est qu’entre nous ici, Nate. J’irai pas tout raconter, tu sais que tu peux me faire confiance. »
Le contact de sa peau sur celle de Meadow, quand il posa sa main sur son ventre, envoya un courant électrique se promener dans tout son corps. C’était officiel, elle ne prendrait pas un « non » comme réponse. Il retira la main de Meadow de sur son cou, elle comprenait bien que c’était difficile pour lui de résister, de rester si fort. Même qu’il la surprenait. Mais, malheureusement pour lui, il n’était pas au bout de ses peines et elle était loin de se résigner. Quand il relâcha sa main, Meadow la laissa se glisser sous le chandail de Nate, juste assez pour que ses doigts tièdes viennent taquiner la peau chaude de son ventre. Pendant ce temps, elle embrassait le visage de Nate, ses lèvres embrassaient lentement la peau de sa tempe, puis elles descendaient et ses baisers traçaient le long de sa mâchoire. Elle stoppa ses baisers quand ses lèvres étaient à quelques centimètres de celles de Nate. | |
| | | | Nate Whitley
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| | Sujet: Re: No one ever said it would be this hard. (r) Ven 17 Juil - 14:12 | |
| « J’ai l’impression que je suis pas la seule que tu essaies de convaincre en ce moment, Nate.»
« Non, tu es la seule. J'ai tourné la page moi, Meadow. »
D'accord c'était un mensonge et alors. Est-ce que cela avait parru dans ma voix? Je ne crois pas. Est-ce que Meadow pourrait savoir si je mentais, surement. Mais j'avais pris une chance et je croyais que je l'avais bien fait. Je la regardais dans les yeux et je vis son sourire qui avant me charmait. Pourtant, il le faisait encore, un peu malgré moi mais Meadow était spéciale, je l'avais souvent dit mais celui-ci ne faisait que me dire qu'elle n'était pas spéciale que c'était une garce et pourtant, avec elle je sentais ce désir, ce désir qui peut vous tuez si vous le laissez prendre le dessus tellement qu'il est mauvais et je ne comprenais pas pourquoi. Quand j'avais décidé de rompe, je savais que cela n'allait pas être facile, que Meadow ne prenait pas un non comme réponse et qu'elle allait revenir très vite à la charge mais j'avais rencontrée BJ et j'avais eu le coup de foudre. D'accord elle était très différente de Meadow, d'accord leur couple n'était pas très stable et qu'il cherchait de la stabilité mais je savais que j'allais être capable d'attendre enfin je le pensais juste qu'à ce que je vois Meadow.
« Si je ne te connaissais pas mieux, je croirais presque que tu es jaloux. »
« Une chance que tu me connais connais car sinon j'aurais bien rit si tu m'aurais dit que j'étais jaloux. »
Je regardais Meadow pendant qu'un petit rire sortit de sa bouche. Habituellement, j'aurais su qu'elle planifiait quelques choses, elle le faisait toujours quand elle riait mais la j'étais trop occuper à me défaire de ses mains pour remarquer que son expression avait changer. Cette expression qui voulait dire qu'elle allait tout faire pour me ravoir, même-ci cela n'était que pour une nuit parce qu'elle puisse mettre sa marque sur moi, pour que je suis me souvenir encore plus d'elle. Je ne pensais pas à ce que je faisais quand je mis ma main sur son ventre, j'aurais dut y penser que cela allait seulement l'allumer encore plus. Pourtant j'aurais du y penser.
« Tu ne peux pas, mais tu le veux. On est qu’entre nous ici, Nate. J’irai pas tout raconter, tu sais que tu peux me faire confiance. »
« Je te faisais confiance Meadow. Juste qu'à ce que j'apprenne que tu allais voir ailleur. Que je n'étais plus rien pour toi. Peut-être que je le veux mais je sais me contrôle pour la simple raison que j'aime Billie et contrairement à toi, elle a un coeur et je ne veux pas le briser. Et tout ce sait dans cette ville alors oublie le fait qu'on a eu quelque chose car ce temps-là est fini. »
Mais malgré ce que je venais de lui dire, Meadow commença à mettre sa main sous mon chandail pour la poser sur mon ventre. Je ne la regardais pu, je ne devais pas la regarder car je savais que si je la fixais j'allais craquer et alors mon petit discours allait être à l'eau. Puis quand elle commença à m'embrasser sur le visage, je ne pu faire autrement que de ne rien faire, attendre qu'elle arrête mais contrairement à ce que je pensais, elle s'arrêta à quelques centimètres de mes lèvres. Elle voulait que je craque, j'avais relever mon regard pour soutenir le sien. Je sentais son souffle contre le mien, son odeur qui autrefois me faisait tellement de bien. Puis quand je vis qu'elle entendait que ne fit que soutenir son regard pour dire d'une fois douce mais ferme:
« Si tu penses que je vais craquer Meadow, tu te trompes. »
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| | Sujet: Re: No one ever said it would be this hard. (r) Mer 29 Juil - 3:28 | |
| « Non, tu es la seule. J'ai tourné la page moi, Meadow. »
« C’est ça, whatever, Nate.»
Meadow ne savait trop si elle devait le croire ou non. Il avait l’air honnête et sérieux quand il disait qu’il avait réellement tourné la page sur leur relation, mais quelque chose, comme une petite voix au fond de sa tête, lui disait de ne pas le croire. La petite voix lui disait de suivre son instinct et de foncer. L’instinct de Meadow lui susurrait aussi à l’oreille que le couple de Nate et de la petite miss parfaite de Billie Jean ne résisterait sûrement pas à une petite infidélité de la part de monsieur. Il s’agit du genre de fille qui n’a pas une très grande estime de soi ou, du moins, une estime de soi qui ne peut pas endurer de grands torts avant de s’envoler une fumée. De la confiance de l’assurance, Meadow n’en manquait pas. Elle en avait même amplement suffisamment pour s’acharner sur Nate, refus après refus, jusqu’à ce qu’il cède à la tentation. Il finirait par céder, il se devait de céder.
« Si je ne te connaissais pas mieux, je croirais presque que tu es jaloux. »
« Une chance que tu me connais car sinon j'aurais bien rit si tu m'aurais dit que j'étais jaloux. »
Elle se contenta de lever les yeux au ciel. Elle savait qu’il aurait cette réaction, oh ça oui elle le savait. Pourtant, Meadow n’avait pu s’empêcher d’espérer pouvoir être en mesure de déceler le moindre petit signe de jalousie. Un petit signe qui aurait pu faire une grande différence. Il aurait pu être la preuve même qu’il l’avait plus aimé qu’il ne l’avait jamais avoué. Jamais les mots « Je t’aime » n’avaient sonné vrais et réellement ressentis dans leur couple pour le peu de fois où il avait été dis. Toutefois, Meadow avait ses propres façons à elle de faire passer ses messages. Des je m’ennuis de toi quand ils étaient séparés pour plusieurs lui et qu’il daignait lui donner un coup de téléphone, des tu sens bon ou des tu es beaux ce soir quand il faisait un effort pour une soirée qui se voulait spéciale, des petits trucs balancés comme ça, comme si ce n’était qu’une pensée qui avait traversé son esprit au moment présent, comme si ces phrases n’avaient pas de significations plus profondes…
« Je te faisais confiance Meadow. Juste qu'à ce que j'apprenne que tu allais voir ailleurs. Que je n'étais plus rien pour toi. Peut-être que je le veux mais je sais me contrôler pour la simple raison que j'aime Billie et contrairement à toi, elle a un cœur et je ne veux pas le briser. Et tout ce sait dans cette ville alors oublie le fait qu'on a eu quelque chose car ce temps-là est fini. »
La réplique de Nate avait choqué, surpris Meadow. Ils s’étaient engueulés et même séparés quelques fois suite à des infidélités de sa part, mais elle croyait que c’était par orgueil qu’il agissait de la sorte. Qu’il ne supportait pas l’impression de ne pas pouvoir lui donner ce dont elle avait besoin sur le plan sexuel, physique ou un truc typiquement masculin du genre. Elle ne croyait pas que ça avait pu l’affecté sur un plan plus personnel ou émotionnel.
« Je crois plutôt que la différence entre Billie Jean et moi c’est qu’elle tu l’aimes réellement. C’est facile, Nate, me reprocher d’être allée butiner ailleurs. Mais dis-moi pourquoi j’ai eu si tord de le faire ? Dis-moi que tu ne l’as jamais fait, que tu as été fidèle en tout temps durant cette année qu’on a passée ensemble. Non, dis-moi plutôt que tu m’aimais, que j’ai brisé ton cœur, que c’est pour ça que j’ai eu tord de te tromper… »
Meadow patienta quelques secondes, attendant une réaction quelconque de la part de Nate après qu’elle ait embrassé son visage à plusieurs reprises jusqu’à sa bouche, l’invitant à faire enfin un premier pas. Rien. Même pas un regard. Elle eut envie de rire, pour cacher sa frustration, mais elle ne parvint pas à laisser sortir un seul son de sa bouche.
« Si tu penses que je vais craquer Meadow, tu te trompes. »
« Si tu veux, je peux faire le travail toute seule : je sais ce que tu aimes et comment tu l’aimes de toute manière… »
Sans lui laisser le temps de réagir, elle sépara la distance entre eux en collant ses lèvres contre celles de Nate. | |
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| | Sujet: Re: No one ever said it would be this hard. (r) Mer 29 Juil - 4:48 | |
|  
(c) velvet ground
« C’est ça, whatever, Nate.»
« Tu parles anglais maintenant, Winfield. »
D'accord, l'humour était un peu de trop et c'était peut-être ce qui allait me trahir sur le fait que j'avais tourné la page. Je la regardais tranquillement, j'aurais voulu me dire que plus jamais je n'allais tomber dans ses bras. Pourtant, je l'avais belle et bien aimer, au début oui. Je voulais passer le reste de ma vie avec elle mais le problème était que nous étions trop pareil pour que tout finissent bien. Je regardais la demoiselle tranquillement pour essayer de voir ce qu'elle voulait faire. Peut-être que j'avais été jaloux, c'était peut-être pour cela que quelques fois nous avions rompu mais nous avions jamais réussis à rester seul bien longtemps. D'accord, elle m'avait trompé, mais je n'étais pas parfait aussi, je ne l'avais jamais tromper mais je ne pouvais pas dire que j'avais regardé ailleurs et je crois que c'était pour cela que j'avais lancé ma réplique sur le fait de la confiance mais ce que je ne m'attendais pas c'était qu'elle me réponde si vite et si facilement, car oui, je savais qu'elle allait me répondre, j'avais souvent craqué pour cela, j'aimais le fait qu'elle n'ait pas peur de répondre et qu'elle soit aussi franche que moi et que je pouvais dire ce que je voulais mais qu'un moment ou un autre elle me l'aurait fait regretter. D'accord, l'amour n'avait jamais été très présent entre nous, les petits mots doux n'avaient jamais été très présent entre nous mais ce n'était pas pour autant qu'on ne se le montrait pas souvent. Puis elle prit la parole quand elle me dit:
« Je crois plutôt que la différence entre Billie Jean et moi c’est qu’elle tu l’aimes réellement. C’est facile, Nate, me reprocher d’être allée butiner ailleurs. Mais dis-moi pourquoi j’ai eu si tord de le faire ? Dis-moi que tu ne l’as jamais fait, que tu as été fidèle en tout temps durant cette année qu’on a passée ensemble. Non, dis-moi plutôt que tu m’aimais, que j’ai brisé ton cœur, que c’est pour ça que j’ai eu tord de te tromper… »
« Tu veux que je te disses la vérité Meadow? Oui, je t'aimais, non je ne suis pas aller couché avec d'autre, oui j'ai regarder ailleurs mais je n'es jamais rien fais. Oui je t'aimais, si j'ai eu le coeur brisé? Je ne le sais pas mais la vrai question Meadow est pourquoi? Pourquoi est-ce que tu es aller voir ailleurs? Dit moi pourquoi Meadow! »
Je l'as regarder. Son corps contre le miens me faisait quelque chose. Je ne devais pas craqué mais je savais que cela allais arrivé mais je devais essayé mais je savais que Meadow n'allait pas changé. Je regardais Meadow, quand celle-ci arrêta d'embrasser mon visage pour par la suite n'avoir que quelques centimètres entre nous deux. Je savais qu'elle n'allais pas se laisser faire et vit sur son visage qu'elle était frustrer et qu'elle bouillonnait intérieurement mais je l'as connaissais et elle allait faire passer sa frustration autrement alors quand elle me prit la parole un sourire s'afficha sur mon visage:
« Si tu veux, je peux faire le travail toute seule : je sais ce que tu aimes et comment tu l’aimes de toute manière… »
« Mais tu vois, si tu fais tout toute seule, toi tu ne vas pas aimer cela mais peut-être que cela est mieux parce qu'après tu vas me laisser... »
Je n'eus même pas la chance de finir ma phrase qu'elle rompit les quelques centimètres qui nous séparaient et malheureusement, elle comprit que si elle posait ses lèvres sur les mienne je craquais. Puis elle commençait à prendre du contrôle alors qu'elle savait que je détestais cela. Alors je mis ma main sur une de ses cuisses pour par la suite la faire reculer et la plaquer sans lui faire du mal contre un mur. Je continuais de l'embrasser mais je devenais plus intense. Je passais ma main sur sa cuisse qui était maintenant autour de ma taille puis sans rien dire, je détacha mes lèvres des siennes pour aller les poser dans son cou et commencer à mettre ma main libre dans ses cheveux.
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| | Sujet: Re: No one ever said it would be this hard. (r) Ven 31 Juil - 10:37 | |
| « Je crois plutôt que la différence entre Billie Jean et moi c’est qu’elle tu l’aimes réellement. C’est facile, Nate, me reprocher d’être allée butiner ailleurs. Mais dis-moi pourquoi j’ai eu si tord de le faire ? Dis-moi que tu ne l’as jamais fait, que tu as été fidèle en tout temps durant cette année qu’on a passée ensemble. Non, dis-moi plutôt que tu m’aimais, que j’ai brisé ton cœur, que c’est pour ça que j’ai eu tord de te tromper… »
« Tu veux que je te dise la vérité Meadow? Oui, je t'aimais, non je ne suis pas allé coucher avec d'autres, oui j'ai regardé ailleurs mais je ne suis jamais rien fais. Oui je t'aimais, si j'ai eu le cœur brisé? Je ne le sais pas mais la vrai question Meadow est pourquoi? Pourquoi est-ce que tu es allé voir ailleurs? Dit moi pourquoi Meadow! »
Meadow sentit les larmes monter à ses yeux. La question était pourquoi ? Pourquoi voulait-elle pleurer, pourquoi se sentait-elle si honteuse ? Elle qui avait pour habitude de n’en faire qu’à sa tête, de mener une vie qui la rende heureuse elle et de faire des choix en conséquence de cette philosophie de vie. Si les autres n’étaient pas d’accord avec son attitude, qu’ils aillent voir ailleurs si Meadow y était. Peut-être que, si elle aurait su qu’il l’aimait réellement, les choses se seraient passé différemment. Enfin, Meadow savait la réponse à cette question. Bien sûr que tout aurait été différent. Pas d’infidélité, pas d’engueulades que par plaisir de le rendre fou, … Meadow n’était pas étrangère aux ragots et aux chuchotements derrière son passage. Elle savait ce qui se disait à son sujet, qu’elle était une trainée, une fille facile,… Une rumeur avait même déjà prétendu qu’elle était une prostituée et qu’elle gagnait pas mal d’argent avec ce job. Jamais elle ne se laissait impressionner par ces racontars. Elle restait fière et marchait la tête haut sans aucune honte. Elle savait qu’elle était du genre libertine. Elle savait qu’elle aimait avoir du plaisir, le genre de plaisir qu’un homme peut lui procurer. Pour la première fois, Meadow se sentait sale, se sentait honteuse, dégoutante. Elle se sentait comme une vraie putain. Elle n’arrivait pas à lui répondre, aucun son ne parvenait à sortir de sa bouche et, de toute façon, elle ne savait pas quoi lui dire. Meadow savait que si elle tentait de s’expliquer, elle allait pleurer, les larmes qu’elle retenait avec toute sa force et sa volonté allaient couler, ses sanglots allaient être bruyants, impossible à stopper. Elle continua donc de jouer le jeu de la séduction, ce qu’elle connaissait de mieux.
« Si tu veux, je peux faire le travail toute seule : je sais ce que tu aimes et comment tu l’aimes de toute manière… »
« Mais tu vois, si tu fais tout toute seule, toi tu ne vas pas aimer cela mais peut-être que cela est mieux parce qu'après tu vas me laisser... »
Juste avant qu’elle ne l’embrasse, Meadow eut un sourire amusé à ses lèvres. Elle en avait assez entendu, elle ne pouvait plus retenir ses pulsions, elle ne pouvait plus contrôler ses envies. Alors qu’elle se laissait prendre un peu le contrôle sur Nate, il devint plus entreprenant lui aussi. Il voulait avoir le contrôle, elle le savait. Meadow savait aussi qu’il détestait quand elle tentait de prendre le dessus sur lui et de le forcer à aller à sa manière. Elle aimait encore plus faire exprès de le mettre hors de lui en voulant le contrôler parce qu’il devenait plus brutal, sans jamais lui faire mal. Nate posa sa main sur sa cuisse, Meadow ne parvint pas à retenir son gémissement, court et silencieux, mais bien présent. À ce moment, Nate savait qu’elle était à sa merci, il pouvait faire tout, absolument tout, ce qu’il voulait d’elle. Puis, il interrompu leur baiser. La peur s’empara de Meadow pour quelques secondes. Avait-il changé d’idée ? Était-il revenu à la raison ? Ses craintes furent apaisées quand les lèvres de Nate prirent contact avec la peau de son cou. Elle recula la tête, lui donnant plus d’espace de manœuvre. Les yeux clos, profitant du moment à son maximum, Meadow dirigea ses mains vers les boutons de la chemise de Nate, les détachant, un à un. À mi-chemin, elle s’arrêta, Meadow fourra sa main dans les longs cheveux de Nate.
« Je suis désolée, Nate. Sincèrement. J’étais tellement, tellement persuadée que tu ne m’aimais pas. Que tu ne m’avais jamais aimée. Les choses auraient pu être différentes… Elles le peuvent encore. »
Elle chuchotait. Peut-être qu’une partie d’elle-même espérait qu’en parlant à voix basse il ne puisse l’entendre. Elle n’aimait pas se montrer faible, elle n’aimait pas présenter des excuses. Pourtant, elle n’avait pu s’empêcher de le faire. Elle aurait aimé l’entendre dire que tout était ok, qu’il lui pardonnait tout, qu’ils pouvaient être ensemble à nouveau, comme avant, comme au début. Quand il était amoureux d’elle. Croyant perdre sa seule chance d’être avec lui à nouveau, Meadow s’empressa de presser ses lèvres contre celles de Nate, d’engager un baiser langoureux et passionné alors que ses mains s’occupait des quelques boutons qui maintenaient sa chemise attachée. | |
| | | | Nate Whitley
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| | Sujet: Re: No one ever said it would be this hard. (r) Ven 31 Juil - 17:44 | |
| « Tu veux que je te dise la vérité Meadow? Oui, je t'aimais, non je ne suis pas allé coucher avec d'autres, oui j'ai regardé ailleurs mais je ne suis jamais rien fais. Oui je t'aimais, si j'ai eu le cœur brisé? Je ne le sais pas mais la vrai question Meadow est pourquoi? Pourquoi est-ce que tu es allé voir ailleurs? Dit moi pourquoi Meadow! »
Je savais que Meadow n'allait pas me répondre, elle n'avait jamais avouer qu'elle avait eu tord un jour. Elle voulait toujours être celle qui avait raison peut-importe si oui ou non elle avait raison. Je regardais Meadow et je vis son expression changer, je ne l'avais jamais vue comme cela. Elle retenait les larmes, ils ne l'avaient jamais vue pleurer. Ils c'étaient engueuler, c'était frapper quand l'autre était fâcher mais jamais bien méchamment, mais avant tout, au début, ils c'étaient aimé bien que tout le monde disait le contraire. Je regardais Meadow tranquillement, je ne savais pas quoi dire, je ne l'avais jamais vue ainsi et je pensais que peut-être, c'était une nouvelle technique pour me faire craquer. Je ne bougeais pas, je ne voulais pas lui montrer que de la voir ainsi m'affectait.
« Mais tu vois, si tu fais tout toute seule, toi tu ne vas pas aimer cela mais peut-être que cela est mieux parce qu'après tu vas me laisser... »
Son petit sourire, ce sourire que j'avais si longtemps détester car cela voulait dire qu'elle préparait quelque chose et que cela n'était pas toujours bien. Puis elle plaque ces lèvres contre les miennes, elle voulait le contrôle mais je n'allais pas certainement pas me laisser faire. Je pris le contrôle rapide, plaquant mes lèvres sur son cou, elle émit un petit gémissement qui voulait dire qu'elle aimait. Je continuais de l'embrasser dans le cou, puis ses mains se dirigèrent tranquillement vers ma chemise pour détacher les boutons. Puis à la moitié de la chemise, alors que je pensais qu'elle n'allait rien dire, elle pris tranquillement la parole, j'eus du mal a comprendre tellement elle parlait pas bas, quand je compris enfin celle qu'elle disait, je croyais que j'avais imaginer ces paroles:
« Je suis désolée, Nate. Sincèrement. J’étais tellement, tellement persuadée que tu ne m’aimais pas. Que tu ne m’avais jamais aimée. Les choses auraient pu être différentes… Elles le peuvent encore. »
Je devais rêver, c'était impossible que Meadow avoue qu'elle avait eu tord, elle ne l'avait jamais fait. Avant, elle avait toujours dit le contraire de la vérité alors je ne disais que cela était impossible, je voulu lui répondre mais je n'eus même pas le temps de répondre, que déjà elle plaquait de nouveau ses lèvres contre le mienne. Puis, sans savoir pourquoi, je me rendis compte de ce que j'étais en train de faire. Je faisais une bêtise, que je n'allais pas pourvoir réparer. Quand elle eut fini de détacher ma chemise, je retira ma main de sur sa cuisse pour mettre mes mains sur ma chemise. Je détacha mes lèvres, et puis tranquillement je la regarda dans les yeux et dit aussi bas qu'elle me l'avais dit:
« Tu aurais dut le savoir Meadow que je t'aimais. Tu aurais dût, mais c'est fini. Je suis en train de faire une bétisse, je suis vraiment désoler. Cela ne se reproduira plus. Oublie moi Meadow, comme je vais t'oublier. »
Je déposa un baiser sur sa joue pour me tourner et rattacher ma chemise. C'est avec tous plein de remise en question que je quitta la zone désaffectée. Je ne me retourna pas pour voir comment Meadow avait réagit. Car je savais que cela n'était pas bien, j'étais plus en train de me faire de mal que de bien et moi qui croyais être sur le bonne voie pour devenir quelqu'un de bien pour Billie, il avait fallu que Meadow se veuille me récupérer...
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| | | | Meadow Winfield
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| | Sujet: Re: No one ever said it would be this hard. (r) Ven 31 Juil - 20:14 | |
| Ses mains vagabondaient sur la peau nue du torse de Nate. Sa peau était chaude et douce, Meadow sentait ses mains se réchauffer un peu plus à chaque seconde passée à toucher Nate. La réchauffait-il ou était-ce plutôt le désire qui lui brûlait les doigts ? Probablement un peu des deux. Meadow croyait perdre la tête à chaque instant où la main de Nate qui était posée sur sa cuisse glissait le long de sa peau blanche se rendant toujours un peu plus loin, de façon aguichante, sans jamais assouvir le désir de la belle. Elle voulait qu’il la touche plus, elle voulait qu’il l’embrasse plus… Pour, ce n’était pas possible. Meadow voulait brûler les étapes, au diable les préliminaires. La seule chose qui importait maintenant était de faire qu’un avec Nate. Puis il retira sa main de sa cuisse. Meadow ouvrit les yeux et l’observa. Il rattachait sa chemise… Paniquée, elle se sentait incapable de lui demander ce qui se passait, pourquoi il arrêtait. Elle le savait. Elle le savait que trop bien.
« Tu aurais dû le savoir Meadow que je t'aimais. Tu aurais dû, mais c'est fini. Je suis en train de faire une bêtise, je suis vraiment désolé. Cela ne se reproduira plus. Oublie-moi Meadow, comme je vais t'oublier. »
Elle ouvrit la bouche, pour protester. Pour lui demander de ne pas lui faire ça. Pour le supplier. Si elle s’était sentie honteuse et sale plus tôt, maintenant, elle se sentait stupide. Elle y avait cru. Elle avait tellement cru les mots qu’elle avait chuchotés, qu’il n’était pas trop tard, qu’ils pouvaient se remettre ensemble et être heureux, s’aimer. Nate l’embrassa sur la joue, elle aurait eu envie de le repousser, insultée que maintenant il se montre si doux avec elle. Mais la vérité était qu’elle n’en avait pas la force, elle était dépendante de lui, de ses caresses, de ses baisers, de son odeur, … Elle dû se retenir de toutes forces pour ne pas le retenir par le bras quand il partait, elle dû collecter le peu d’amour propre et d’estime de soi qu’il lui restait à ce moment et se retenir. Il était parti. Comme ça, sans ajouter un mot de plus, sans regarder derrière lui une dernière fois. Meadow se laissa glisser le long du mur, jusqu’à ce qu’elle soit en position assise. Cette fois, elle ne parvint pas à retenir les larmes qui ne demandaient qu’à couler. Elle n’avait plus la force de se lever et de rentrer chez elle. Elle se sentait comme une vieille poupée de chiffon qu’on aurait jeté. Comme si Nate c’était rendu compte qu’il ne voulait plus ‘jouer’ avec ses anciens jouets. En vérité, Meadow commençait tout simplement à croire les ragots qu’on disait à son sujet. Peut-être qu’elle était réellement une putain. Et, maintenant, même Nate ne voulait plus d’elle, probablement dégouté par elle et son attitude et peut-être même son corps. Meadow passa la nuit dans la zone désaffectée, laissée seule à elle-même avec, pour seule compagnie, ses doutes et sa honte. SUJET TERMINE | |
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